Groupe : Templiers (Ou partisans)
Armes : Épée simple - Dague

Ancêtre(s) : Pierre de Montaigu
Descendant(s) : Aucun

Période ? : 1481 - Assassin's creed II

Poids : ~ 53 kilos	Taille : 1m68
Yeux : Turquoises	Cheveux : Châtains

Corpulence : Longue - Fine

Marque(s) Corporelle(s) : Marque de brûlure sur le haut de l'épaule gauche. Un simple accident de la vie quotidienne.
Objet(s) fétiche(s) : Aucun
Accessoire(s) :Coquelicots

Phobie ? : Claustrophobe
Manie(s) ? : Pincer et tirailler ses ongles ou bout des doigts.
Rêve : Avoir un mari et des enfants.

Caractère : Courtoise, courageuse, fougueuse, coquette, autoritaire, têtue, farouche et j'en passe. Franca est une personne curieuse qui aime s'aventurer dans l'inexploré, partageant avec son père un goût prononcé pour l'inconnu. Bonne samaritaine et proche de dieu, Franca n'est pas quelqu'un de mauvais, juste bien plongée dans les desseins de l'ordre. Un monde en paix ne l'est pas sans un peu de corruption. Cultivée et intelligente, Franca se passionne - comme son père - des mathématiques, de la géométrie et un peu de médecine. Ça ne l'empêche pas néanmoins d'être distraite et de faire fausse route. Téméraire, fougueuse, ardente et ambitieuse, la bourgeoise se frotte souvent à tout ce qui semble dangereux ou difficile d'atteinte. Elle n'aime pas les tâches ingrates ou faciles qui pèsent toujours un peu sur son ego. Froide, fourbe et insolente, la jeune partisane prend un peu trop son pied à écraser ceux qu'elle considère comme "intolérables" ou "inutiles".


Sexualité :Hétérosexuelle

Mon père est et a toujours été un brillant savant, c'est grâce à ses compétences que j'ai pu, aujourd'hui me faire une place dans la communauté, et pas n'importe laquelle.

Mon père réfléchit, mon père tire de merveilleuses choses de ses réflexions. De la crécelle à la plus élaborée machine agricole. Il a développé ses talents dans l'unique et petite école de Florence, jumelée avec celle de l'artillerie de l'époque. Mon grand-père a dû payer de sa poche pour envoyer son fils à l'école, qui équivalait au moins à un ou deux mois de salaire. Ce n'est qu'en début d'adolescence que mon père considéra son travail comme "présentable", qu'il exploita dans le but de s'enrichir et donner à son père une meilleure condition de vie.

Ce fut le cas pendant un mois et quelques jours. Cela a commencé lorsque mon père a présenté au public les machines qui à la base ne servaient qu'à l'agriculture, marque de commerce recherchée. Les machines ont été vendues comme de petits pains chauds, puis mon père a dû recopier à la main quelques plans populaires avec l'un de ses fidèles apprentis, pour qu'ainsi plus de fabricants puissent se permettre une telle machine. Quelques plans seulement permirent à mon père de faire fortune et de trouver gloire et influence dans tout Florence. Ceci lui permit de trouver à son père un lit plus moelleux, un menu un peu plus varié que le traditionnel pain par jour, pour un mois et quelques jours avant sa mort. Ce dernier, très vieux, est mort dans la villa que mon père venait de s'acheter à lui et à mon grand-père. C'est pendant cette année qu'il a fait connaissance avec d'autres templiers. Dont le célèbre et fourbe Uberto Alberti, qui lui demanda de l'aide pour une machine de guerre et des armes plus évoluées.

Mon père a accepté dans un seul but lucratif , mais après avoir découvert les idéaux de ses comparses - étrangement similaires aux siens - il s'allia à eux. Là il mit les voiles jusqu'à Venezia, où il rencontra ma mère, une femme à la peau foncée, d'origines Espagnoles. Il partagea ensuite sa vie entre cette ravissante femme et le métier d'érudit.

En grimpant les échelons, sa tête enflait. Il se disait être noyau des réussites des templiers, comme il était le seul à concevoir des machines plus ou moins complexes. Son nom fut partout durant de courts mois, Diego Casaviecchi, fidèle inventeur des templiers de Venezia. Il passait la majorité de son temps enfermé dans une pièce qui était tapissé de cartes et plans.


Puis il y eut moi. À une très jeune âge, mon père me confia à un précepteur qui prit soin de m'enseigner les mathématiques, la géométrie, l'écriture et la lecture. Ma capacité à enregistrer l'information auditive et ma mémoire sans faille aiguisa la curiosité de mon enseignant ainsi que celle de mon père. Deux ans après la naissance de mon petit frère, ma mère mourut et jamais ô grand jamais mon père ne nous en souffla un mot. La perte de ma mère créa pendant quelques années de ma vie - en particulier ma puberté - un vide qui fut partiellement remplit par la domestique de la maison, allez savoir, je ne pouvais pas parler de mes problèmes à mon père !  

Lorsque je fus assez mûre - 13-14 ans environs - mon père me confia à un homme espagnol qui m'enseigna les bases du maniement d'épée, le 12 avril 1479. Je savais pertinemment que mon père me préparait à quelque chose relié à la mort de ma mère, mais je ne savais pas encore à quel point.  

Je vieillis et me montra utile pour mon père, devenant très tôt la maman de la maisonnée. Ce n'est que plus vieille que mon paternel me mit au parfum concernant les Templiers et Assassins.

Je fus confuse et ô combien mêlée. Je n'avais jamais eu mot de l'existence de cette guerre auparavant et le seul lien entre ma famille et les Templiers était nos ancêtres et le désir du pouvoir de mon père. Ce dernier ne tarda pas à me donner de quoi me mettre à la tâche, durant mes premières semaines, je me risqua à recueillir de l'information et à fouiller de fond en comble Venezia pour me rendre utile. Mémorisant facilement tout ce qui me glissait à l'oreille. Par ailleurs, je n'avais pas de difficulté à passer pour une simple civile, ou mère de famille avec mon frère dans les pattes. J'étais, comme l'on m'a souvent dit, la deuxième Fiora, son apprentie. Sans le métier de courtisane.

Sauf que, est-ce que j'ai là tout ce que j'ai toujours désiré avoir ? J'ai longuement rêvé du prince et des enfants, mais une vie comme je la voyais n'aura sans doute jamais les rebondissements et risques auxquels je me frotte actuellement. Je suis indécise et souhaite plaire et rendre mon père fier, mais cela en coûtera mes rêves à moi.

Je continue de veiller sur mon frère et de me soumettre naïvement aux convictions de mon père. Je n'ai pas de métier précis, mais je m'occupe de la maison et des requêtes des Templiers.

▬ Pseudonyme :: Memça
▬ Âge Réel :: 20 ans

▬ Crédits de l'avatar :: CristinaKokoro sur Deviantart

▬ Expérience RP :: Joueuse régulière (Je ne compte pas les années, je ne m'en souviens plus)
▬ Votre présence ? :: 7.5/10

▬ Multi-comptes ? :: Aucun

▬ Comment avez-vous connu le forum ? :: Google